L’internationalisation des sites est un domaine fascinant où votre culture personnelle s'enrichit à chaque seconde : différences culturelles/légales, alphabets/typographies surprenants, originalités/curiosités… de purs moments d’exotismes culturels, qui apportent des challenges assez cools, comme par exemple adapter un site dans des langues qui se lisent de droite à gauche, comme l'arabe. Si si, ce n'est pas si difficile, et une de mes choses préférées en intégration ! ;)
C’est aussi un domaine où l’on peut facilement se retrouver bloqué pour des choses apparemment « triviales »… et c'est parfois assez rageant. Vous ne parlez pas japonais ? Rassurez-vous, moi non plus. Et pourtant, je dois faire avec. Il m’arrive de devoir faire avec d’autres langues, comme le chinois, le russe, le serbe, le néerlandais ou l’arabe.
Et là, l’exotisme se transforme parfois en galères. En prime, il existe une quantité astronomique de petites peaux de bananes sur lesquelles il est très facile de déraper. Je le sais, chacune des choses dont je vous parlerai… je les ai vécues au moins une fois. Et les soucis ne s’arrêtent pas aux seules traductions. Même le français peut être une galère dans certains cas.
Bref, c’est un domaine où l’on apprend principalement… de ses erreurs.
Mon objectif : à la fin de cette présentation, vous épargner les difficultés des débutants en internationalisation, faire un petit tour de ce que cela impacte côté métiers (design, front, back, chefs de projets, etc.) et vous permettre de démarrer ce genre de projet du bon pied, et que cela redevienne une belle destination exotique, garantie sans piqûres de moustiques ! ;)